Newsline Banner
CADA testifies on new NAFTA

CADA testifies on new NAFTA

March 9th, 2020

CADA was invited to be among the first witnesses to testify before the House of Commons Standing Committee on International Trade, as part of the ratification process for the new NAFTA deal in Canada.

The association testified before the House earlier in the process of moving the agreement, known in Canada as CUSMA (Canada-United States-Mexico Agreement), forward. CADA’s Public Affairs Director Huw Williams and CADA Economist Oumar Dicko testified on the association’s behalf in February.

“CADA’s testimony was supportive of the rapid passage of the ratification package, which will create economic and trade stability between the United States and Canada, and remove uncertainty for dealers and those manufacturers producing vehicles in Canada,” said Williams in an interview with CADA Newsline.

Over the past four years, the issue of NAFTA and its renegotiated agreement has been front and centre for the Canadian government, and in fact all players in the Canadian economy.

According to Williams, the automotive retail industry was specifically targeted as part of the growing trade dispute when two things happened: U.S. President Donald Trump placed a 25 per cent tariff on Canadian steel imports to the U.S., and a 10 per cent tariff on aluminium imports to the U.S., both of which increased the costs for car manufacturers by billions of dollars. Furthermore, there was also the threat of a 25 per cent tariff on vehicles coming across the border.

“A 25 per cent tariff would have been devastating for the Canadian auto sector, and CADA leapt into action, along with NADA (the National Automobile Dealers Association) from the U.S., to deliver the message that these tariffs were not good for the economies, consumers or dealers,” said Williams.

Through lots of hard work, the new trade agreement was ratified by both Mexico and the U.S., and ratification was the final step required to make the agreement whole. The Canadian ratification process involves passage from both the House and Senate before being signed into law by the Governor General of Canada. Currently, the House of Commons Standing Committee on International Trade is studying it and steering its passage through the House.

Williams also said that, as part of the overall CUSMA package, there was an earlier automotive side letter that was signed and which CADA had lobbied for to protect the auto sector and investment.

“CADA gave non-partisan praise to members of all parties who worked with their U.S. counterparts to push a trade deal forward, and particular effort from Chrystia Freeland, the Deputy Prime Minister of Canada, and the Prime Minister Justin Trudeau’s efforts to get a deal in place,” said Williams. “The successful conclusion of NAFTA and the resulting automotive free trade has been a highlight of CADA’s advocacy history.”

Williams said the association also used the opportunity before the committee to highlight the fact that the proposed Liberal luxury tax will be bad for consumers, bad for the economy, and unfair to dealers. Most importantly, he said, the proposed luxury tax is contrary to free trade agreements signed with Europe, and disproportionately targets European brands.

CADA’s campaign against the luxury tax continues on every level and was part of a discussion before Members of Parliament of the committee. More information can be found here.

Écho-CADA Banner
La CADA témoigne en faveur du nouvel ALENA

La CADA témoigne en faveur du nouvel ALENA

Le 9 mars 2020

La CADA a été invitée à faire partie de la première vague de témoins devant le Comité permanent du commerce international de la Chambre des communes dans le cadre du processus de ratification du nouvel accord de libre-échange du Canada.

La Corporation avait témoigné aux Communes plus tôt dans le processus visant à faire progresser l’accord, appelé ACEUM (Accord Canada–États-Unis–Mexique) au Canada. Le directeur des affaires publiques de la CADA, Huw Williams, et l’économiste de la CADA, Oumar Dicko, ont témoigné au nom de la Corporation en février.

«Dans son témoignage, la CADA s’est dite en faveur d’une ratification rapide, qui sera bénéfique pour la stabilité économique et commerciale entre les États-Unis et le Canada et éliminera l’incertitude pour les concessionnaires et les constructeurs qui produisent des véhicules au Canada», a dit M. Williams dans une entrevue accordée à Écho-CADA.

Ces quatre dernières années, le dossier de l’ALENA et de sa renégociation a été une priorité du gouvernement canadien et, en fait, de toutes les parties prenantes de l’économie canadienne.

Selon M. Williams, le secteur de la vente au détail de véhicules a été particulièrement touché par l’escalade du conflit commercial, et ce, pour deux raisons : le président américain Donald Trump a imposé un tarif douanier de 25 % sur les importations d’acier canadien; et un tarif de 10 % sur les importations d’aluminium aux États-Unis, deux mesures qui ont fait augmenter de plusieurs milliards de dollars les coûts de production des constructeurs d’automobiles. Les États-Unis menaçaient en outre le Canada de percevoir des droits de douane de 25 % sur les véhicules qui traverseraient la frontière.

«Un tarif de 25 % aurait été dévastateur pour le secteur canadien de l’automobile, et la CADA est passée à l’action avec la NADA (la National Automobile Dealers Association), son homologue américaine, pour faire savoir que ces tarifs seraient néfastes à l’économie, aux consommateurs et aux concessionnaires», a dit M. Williams.

Après beaucoup d’efforts, le nouvel accord de libre-échange a finalement été ratifié par le Mexique et les États-Unis, et il s’agissait de la dernière étape nécessaire pour lui donner force de loi. Dans le cadre du processus, avant que la gouverneure générale du Canada puisse promulguer l’accord, celui-ci doit être adopté par la Chambre des communes et le Sénat. Actuellement, le Comité permanent du commerce international examine le projet de loi et s’assure de son adoption aux Communes.

M. Williams a ajouté que l’ACEUM comprenait un avenant automobile signé pour lequel la CADA avait fait des pressions et qui protégeait le secteur automobile et ses investissements.

«La CADA a fait l’éloge des députés de tous les partis qui ont travaillé avec leurs homologues américains pour faire avancer l’accord de libre-échange, et plus particulièrement des efforts de Chrystia Freeland, première ministre adjointe du Canada, et du premier ministre Justin Trudeau, qui ont réussi à le mettre en œuvre», a indiqué M. Williams. «La conclusion favorable de ce dossier et le libre-échange automobile qu’elle rend possible font partie des grandes réussites de la CADA dans son travail de défense des intérêts des concessionnaires.»

Au dire de M. Williams, la Corporation a aussi profité de sa présence devant le comité pour souligner le fait que la taxe de luxe proposée par les libéraux est une mauvaise idée pour les consommateurs et pour l’économie et une mesure injuste pour les concessionnaires. Mais surtout, a-t-il dit, ce projet de taxe irait à l’encontre des accords de libre-échange conclus avec l’Europe et cible de façon disproportionnée des marques européennes.

La campagne de la CADA contre la taxe de luxe se poursuit à tous les égards et le sujet a été abordé en présence des députés membres du comité. Pour en savoir plus, cliquez ici.